Just to beat my own drum: some great French reviews for junker!
“Par la maîtrise de son sujet, par la force littéraire et ironique d’un texte ciselé à l’extrême, par les superpositions de strates de bleu qui apportent aux cases de composition plutôt simple une grande profondeur de champ, par la justesse d’un dessin minimaliste qui épingle le comique de situation tout en respectant la trame tragique qu’impose le sujet (mentionnons toutefois la liberté d’une superbe double page où Ludwig, tel le Woody Allen de Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe parcourt amoureusement la structure schématisée de Maxim), Spruyt signe avec Junker une bande dessinée exceptionnelle.
À l’heure où l’uchronie est devenue une niche éditoriale à partir de laquelle des auteurs se mettent à réfléchir à des histoires, Spruyt prend la contrainte à rebours en admettant de manière implacable le chaos de l’Histoire selon le truchement d’un destin particulier. Le danger est toujours plus près qu’on ne l’imagine.” http://www.espritbd.com/junker-de-simon-spruyt/
“<…>une histoire profonde, d’un tout autre calibre, d’une tout autre densité. Junker est une bande dessinée rare, par la personnalité singulière et désuète qui s’en dégage.” http://www.bdgest.com/chronique-6581-BD-Junker-Junker.html
Un monde s’évanouit, une guerre mondiale, comprimant en elle toutes les tensions de l’humanité, s’apprête à éclater, inévitable : telle est la démonstration talentueuse menée par l’auteur bruxellois Simon Spruyt à travers ce récit exécuté avec une seule couleur – le bleu, sous toutes ses teintes – et dont l’épilogue s’amuse à réécrire l’histoire pour mieux révéler son inéluctabilité. Bref, une « uchronie monochromatique ». Qu’on peut aussi qualifier de petit bijou.
http://www.lemonde.fr/bande-dessinee/article/2015/03/05/une-guerre-fraternelle_4587999_4420272.html
Dergelijke commentaren in ‘t land van de BD…super. En die kunnen het weten, wschl. beter dan enkele azijnpissers hier te lande.